Le territoire de la commune d’Erezée est occupé à 46 % par la forêt et à 42 % par l’agriculture. C’est dire l’importance du secteur agricole et forestier dans notre environnement.
Mais en 35 ans, l’agriculture d’Erezée a perdu 1/20ème de ses terres. Cette perte est plus importante que le recul constaté dans l’arrondissement de Marche et dans la province de Luxembourg.
Le nombre d’exploitations varie selon les sources entre 36 et 46, à titre principal ou en activité complémentaire. Elles travaillent majoritairement sur une superficie de moins de 50 ha.
C’est donc encore une agriculture familiale qui façonne nos paysages et nous fournit des produits sains et de qualité.
Pourtant, le secteur est manifestement en souffrance, pris dans le guêpier de la mondialisation, de l’agro-industrie, de la chimie et de l’évolution de la consommation, sans oublier le bourbier des scandales à répétition et des aléas de la météo. Remarquons tout de même que tous ces problèmes majeurs sont liés à la grande production de masse et à la multiplication des intermédiaires.
Si nous pouvons légitimement nous poser la question de savoir ce que nous mangerons demain, nous et nos enfants, les agriculteurs en sont plutôt réduits à se demander s’ils mangeront demain !
A Erezée, à part la création d’une « Commission agricole », la majorité sortante ne s’en est pas vraiment préoccupée. Or, l’agriculture constitue le socle même de la vie rurale et de la vie tout court…
Le prix de la terre, on peut même parler de spéculation, ainsi que sa raréfaction constituent une autre difficulté majeure pour les jeunes qui envisageraient la reprise d’une exploitation.
La Commune doit donc tout d’abord protéger à tout prix les terres agricoles. Avec le CPAS et les Fabriques d’église, elle est propriétaire de 230 ha !
L’attribution des parts d’affouage, des parts d’aisance, doit notamment se réaliser dans la transparence et l’équité.
Les projets fonciers doivent également avoir le souci de la préservation des superficies agricoles, comme la Région wallonne vient d’ailleurs de le rappeler. Faut-il souligner une fois encore que le projet de zoning de Briscol est clairement à contre-courant ?
Les chemins agricoles doivent être entretenus et améliorés et l’accès à l’eau facilité.
Nous devons favoriser au maximum la diversification de la production, la transformation des matières premières et la commercialisation dans des circuits courts et de ventes directes.
La qualité de la production, labellisée « bio » de préférence, fait partie de cette diversification.
L’agriculteur ne peut tout faire : exploiter sa ferme, tenir sa comptabilité, transformer ses produits et faire les marchés pour les vendre !
Il s’agit donc de soutenir les coopératives de distribution. Les initiatives sont multiples dans la région.
Il faut consommer notre production locale dans les collectivités, écoles, crèches, maison de repos.
Et puis, humainement, il serait important de témoigner une solidarité avec le secteur agricole, trop souvent isolé, ainsi qu’un soutien passant par des actions de valorisation de l’image de l’agriculteur auprès des habitants, des seconds résidents et des visiteurs.
Cela peut aussi passer, par exemple, par une participation aux Festivals, tels que « A travers champs » ou « Rendez-vous en terre Ferme » qui réalisent un travail remarquable sur ce thème depuis une dizaine d’années et qui « sèment les bonnes graines non OGM » dans les communes voisines !
Eh oui, la Culture au service de la culture, en quelque sorte !!!
Les chiffres sont clairs : les aînés représentent une part importante de notre population.
Signe, sans doute, de la qualité de vie à Erezée, de la volonté de certains de (re)venir s’installer dans notre commune, de l’allongement de l’espérance de vie, mais aussi de l’exode trop important de la population en âge de travailler. Mais ça, c’est une autre histoire que l’on abordera dans le développement rural…
Les aînés sont actifs
Les aînés d’aujourd’hui marchent, font du sport, se forment, se cultivent, se déplacent, se regroupent, s’occupent des petits-enfants, créent et s’expriment,… Bref, ils sont actifs et veulent rester acteurs de leur vie !
Tous les services offerts dans la commune doivent leur être accessibles, ouverts à tous, sans discrimination d’âge, mais bien entendu parfois avec des spécificités propres (mobilité, coûts, horaires, etc.).
Comme dans tous les domaines, la participation des mouvements associatifs est essentielle et doit être structurée et intégrée au niveau de toute la commune.
Une véritable « politique des aînés » constructive sera une politique « avec » et « par » eux. Pas de paternalisme !
Nous proposons donc la création d’un « Collectif des Aînés », chargé de l’animation, de l’élaboration de projets, de l’information, du dialogue avec la Commune et les autres associations, etc.
Le Collège sera à l’initiative de cette création, assurera l’information nécessaire, mobilisera les « forces vives », mais le « Collectif » devra pouvoir travailler en autonomie.
Une page, au minimum, du Bulletin communal devra être proposée et consacrée à la vie de ce Collectif.
Les aînés doivent être accompagnés
Le vieillissement de la population est cependant une réalité et, avec l’âge, des besoins spécifiques prennent plus d’acuité. Mais ce n’est pas une fatalité !
Nous voulons une politique pro-active et, plutôt que de parler de coûts, nous soutenons que c’est une formidable opportunité en termes d’emploi et de cohésion sociale.
NOUS VOULONS FAIRE D’EREZEE UNE COMMUNE-PILOTE en la matière.
Nous voulons une Commune de services axés sur les besoins de la population et luttant contre l’isolement.
Ces services s’appuieront d’une part sur les associations et le volontariat, mais aussi sur base d’activités professionnelles et donc créatrices de véritables emplois.
Nous soutenons avec force et engagement le Home Philippin, de l’Association des Arches, projet ambitieux et nécessaire mis sur pied par les CPAS d’Erezée et de Hotton. Il répond à un besoin essentiel pour la région et est créateur d’emplois de diverses qualifications et, surtout, non délocalisables !
Nous voulons contribuer à une décrispation du dossier et une professionnalisation de la gestion : cela passe non pas par une « dépolitisation » proprement dite, mais plutôt par une « départicratisation » des organes de décision. Un changement des mentalités est bien nécessaire, faut-il le dire ?…
Nous comptons sur nos aînés
Nous devons œuvrer à la cohésion sociale, notamment intergénérationnelle.
C’est pourquoi un membre du Collège communal aura très clairement parmi ses attributions la responsabilité du LIEN SOCIAL.
Si le Conseil Communal des Enfants est une initiative intéressante sur le plan de l’éveil à la citoyenneté, il est tout aussi nécessaire de soutenir et renforcer la participation active des aînés. Leur intégration inconditionnelle est primordiale, leur expérience inestimable !
Que d’échanges riches peuvent être suscités entre les plus jeunes, actifs, branchés, délurés, mais curieux et avides d’apprendre et les aînés, riches de leur vécu, de leur expérience et de leur « sagesse » !
Une idée, juste en passant : pourquoi pas de l’apprentissage ludique du wallon, ou encore du jardinage, lors des moments d’accueil extra-scolaire ? Non pas comme une fin en soi, mais bien comme un moyen, une opportunité et le plaisir de vivre la cohésion. Chiche ?
Pour Vivr’Action, c’est une évidence, les associations sont l’âme de la commune et les acteurs principaux du lien social.
Sans le mouvement associatif, la vie à Erezée serait bien terne.
Il est impossible – et risqué ! – de vouloir les citer toutes ici. Mais que ce soit dans le monde sportif, dans le domaine culturel et artistique, dans les loisirs et le récréatif, dans l’animation des villages, l’humanitaire, le patriotique, le tourisme, l’environnement, le social, qu’elles soient structurées ou simplement factuelles, les associations sont le relais de terrain des institutions officielles.
Vivr’Action place la vie associative au cœur de sa politique communale et cela se traduira de la manière suivante :
Mais nous savons tous qu’il est malaisé d’avoir une action soutenue et régulière sans pied-à-terre, sans local de réunion, sans lieu de ralliement. Nous souhaiterions que la « Maison des Associations », prévue dans le PCDR, voie le jour durant la mandature prochaine.
Elle serait importante pour tous les citoyens de notre commune qui disposeraient ainsi d’un endroit de contact et d’information sur tout ce qui est vie associative.
La concrétisation de cette « Maison » sera évidemment pensée et réalisée en collaboration avec la « coordination des associations » : emplacement, importance, organisation, équipement, etc.
Une attention particulière sera apportée aux associations « intergénérationnelles » et « intervillages » parce que nous y croyons et qu’elles connaissent sans doute quelques petites difficultés supplémentaires dans leur fonctionnement.
Les associations permettent véritablement de VIVRE et d’AGIR à Erezée.
Le lien avec la dénomination de notre équipe n’est pas fortuit !
Vous comprenez pourquoi nous voulons les « chouchouter » et pourquoi nous comptons vraiment sur elles !
C’est dans l’air du temps…
Avec « gouvernance », « durable », « participation » et quelques autres vocables, la « citoyenneté » fait partie des mots les plus usités en cette période électorale.
Vivr’Action se targue également d’être une « liste citoyenne ». Mais ce ne sont pas que des mots…
Il n’est sans doute pas inutile de rappeler quelques principes de base à ce sujet.
La citoyenneté ne s’exprime pas seulement dans les urnes, un jour tous les 4, 5 ou 6 ans.
Elle est de tous les jours, de toutes les actions, y compris et surtout dans les gestes quotidiens : déplacements, consommation, achats, loisirs, solidarité, bénévolat, défense de l’environnement, de la qualité de l’alimentation, gestion des déchets, etc.
Plusieurs de nos propositions s’inscrivent délibérément dans le soutien à une citoyenneté responsable :
La citoyenneté s’exerce dès le plus jeune âge et s’étend la vie durant.
La citoyenneté est plus forte lorsqu’elle est exercée collectivement
Exercer sa citoyenneté, c’est se comporter individuellement en personne responsable et c’est participer collectivement à la vie de la communauté, chacun selon ses moyens, ses capacités ou ses envies.
Trop souvent considéré par d’aucuns comme « dépanneur », le CPAS est en réalité un Centre Public d’ACTION Sociale, ce qui lui confère des missions bien plus larges que la seule aide matérielle ou financière. La prévention, par exemple, est un des volets importants de son action.
Le travail de tout le personnel du CPAS d’Erezée est important et de qualité.
Il est également discret, ce qui peut le rendre méconnu, voire incompris, mais ce qui témoigne à juste titre du respect des personnes bénéficiaires.
C’est aussi un travail difficile de contact, de diplomatie, d’administration, de législation,… qui est de nos jours alourdi par une série de mesures prises par le gouvernement fédéral. Parfois d’ailleurs à la limite des missions dévolues au CPAS !
Le CPAS d’Erezée a conçu et distribué en 2018 un toutes-boîtes présentant les services qu’il organise.
Nous avons été surpris lors de nos contacts de constater combien ce dépliant est apparemment passé inaperçu dans une grande partie de la population. Nous proposons dès lors de le rendre consultable et téléchargeable sur le site web de la Commune afin de pallier cette carence, car cette information est indispensable.
Le CPAS d’Erezée travaille dans des locaux trop exigus et non fonctionnels.
La prochaine mandature devra absolument trouver des solutions à cette situation. Que ce soit dans le cadre de l’amélioration de tous les locaux de la maison communale, ou dans un dossier exclusif « CPAS ».
Nous nous engageons à travailler à cette transformation des locaux et à le faire en concertation avec tout le personnel.
Nous souhaitons que soient renforcées les activités de prévention. Elles peuvent aller de pair avec les mesures d’accompagnement parfois nécessaires.
La gestion d’un budget, le surendettement, les contrats (bail, télécommunications, électricité,…), l’alimentation, la santé, le logement, l’hygiène, les addictions sont bien des thèmes qui peuvent concourir à « une vie conforme à la dignité humaine ».
Nous soutenons les collaborations avec d’autres CPAS et ASBL qui mènent des actions dans des domaines spécifiques comme l’emploi, le logement, le permis de conduire, le projet personnel, la mobilité, l’alphabétisation, etc.
L’investissement le plus important est celui qui a été réalisé dans le cadre des Arches, en association avec le CPAS de Hotton : le Home Philippin et la Résidence-Service de la Strée.
Il est essentiel que ce projet soit bien finalisé et géré de manière professionnelle et humaine, en dehors de toute particratie. Ce n’est malheureusement pas le cas aujourd’hui et des manœuvres politiciennes, voire d’incroyables pantalonnades, ont été menées tant du côté de Hotton que de la majorité d’Erezée.
C’est profondément regrettable et il est temps de revenir à une sérénité bien nécessaire.
Il est indispensable pour l’institution, pour les aînés qui bénéficient de ses services, pour le personnel dévoué qui y travaille, mais aussi pour les finances communales, qu’une volonté de collaboration constructive voie enfin le jour et que les rôles des différents organes soient bien définis !
L’enjeu est de taille ! Certains n’ont pas l’air de s’en soucier outre mesure et le font passer bien après de tristes considérations partisanes…
Nous espérons vivement que les résultats des élections contribueront à cette pacification.
Nous voulons que la prise en charge des résidents et pensionnaires soit un travail collectif avec les proches, le médecin de famille, les équipes des Arches et d’autres intervenants lorsque la nécessité s’impose (administrateur provisoire, juge de Paix, etc.), toujours dans le respect absolu de la personne et dans la recherche de son bien-être.
Nous voulons que le Home Philippin et la Résidence-Service de la Strée soient bien intégrés dans les communautés locales et que cela se marque dans les animations, les repas de qualité basés sur les produits locaux, sur les différents services offerts, etc.
La culture, ce n’est pas comme la confiture, mais comme le chocolat : une gourmandise qui se déguste par plaisir et se partage entre amis !
Didier Halléppée
Au-delà de ce plaisir évident que la culture nous procure en la « consommant », elle peut -et doit- être également active et créative.
Ne nous aventurons surtout pas ici à essayer de la définir, mais notons simplement une vérité indéniable : il n’y a pas d’Humanité sans Culture…
Création, convivialité, plaisir, enrichissement, esprit : la culture nous enveloppe et nous « soude » insensiblement, tout en nous ouvrant sur l’extérieur et sur l’autre.
Bref, elle est essentielle, en particulier dans une petite commune rurale.
Comment voyons-nous donc la politique culturelle à Erezée ?
Une Culture active
Comme dans tous les domaines, notre action passera par le soutien aux associations qui la font vivre, qui permettent aux citoyens, depuis l’école jusqu’à la retraite, de créer, de s’exprimer, de produire, d’inventer, de partager… Théâtre, photographie, sculpture, peinture, musique, artisanat, histoire, cinéma, cirque, etc. Il y a assurément du « Vivr’Action » dans notre commune ! (excusez le clin d’oeil…)
Nous voulons redonner vie au kiosque d’Erezée en remettant sur pied des manifestations pour lesquelles il a été érigé.
Nous voulons compléter l’offre de matériel d’exposition, de réunion et de conférence mis à la disposition des différents organisateurs.
Nous souhaitons une culture qui crée du lien : entre villages, entre générations, entre associations, entre débutants et confirmés,…
Une Culture ouverte
Au-delà de la culture active locale, il importe d’ouvrir notre commune sur « ce qui se fait ailleurs », par des partenariats, des invitations, des échanges, la mise sur pied d’expositions, de manifestations publiques, de projections, de conférences, qui sont à la fois fenêtres ouvertes et lieux d’échanges et de convivialité.
Nous voulons apporter un grand coup de fraîcheur à nos bibliothèques et ludothèques (équipement, accessibilité, locaux, promotion,…).
Une Culture rurale, facteur de promotion locale
Par la mise en valeur de nos créateurs -et ils sont nombreux-, de leur talent, de nos richesses, nous voulons mettre Erezée dans la lumière et le regard de tous.
La synergie potentielle entre notre capital nature et notre richesse créative est évidente.
Même si ce n’est pas le but premier, elle peut être un facteur de développement intéressant et cohérent.
Nous sommes intimement convaincus que tourisme et culture, chez nous, sont destinés à se marier.
Allons-y pour des Week-Ends Bienvenue, des parcours d’artistes, des stages créatifs, des circuits culturels et historiques, du land-art,… qui redonneront toute sa noblesse au mot « tourisme » !
« Le touriste est la forme la plus élaborée de l’homme de demain », écrivait Jean Dorst il y a une cinquantaine d’années… Il était fort optimiste, car il y a encore du travail, beaucoup de travail ! Mais pourquoi pas dans et grâce à notre commune ?
Pour mener à bien toutes ces activités, les coordonner, les mettre en synergie, il est indispensable de concevoir un véritable Agenda Culturel efficace, c’est-à-dire complet et mis à jour régulièrement.
La mise sur pied d’un « Collectif culturel » autonome, s’impose… en attendant une Maison des Associations.
Bref, pour Vivr’Action, le mot « Culture » ne doit pas être un simple mot creux ajouté à la liste des attributions d’un membre du Collège communal…
Social et économique, l’un ne va pas sans l’autre…
De plus, ces domaines sont intimement liés au politique, même si le développement ne se décrète pas !
Il se prépare, se concocte, se coordonne, se développe et s’encadre par le politique.
C’est dire si le rôle de la Commune est important en la matière, si la conjugaison de toutes les compétences et de toutes les forces vives est primordiale.
Soutenir une économie au service des humains, de manière juste et durable, voilà le défi !
Limiter la politique économique à la création d’un zoning, sans aucune concertation, ne répond pas à cet équilibre indispensable que nous recherchons.
Un des meilleurs outils pour une commune résidait dans les Agences de Développement Local, par ailleurs bénéficiaires de subsides. La majorité sortante a incontestablement loupé le coche en n’écoutant pas la voix de la minorité…
Vivr’Action compte poursuivre l’idée de la mise en place d’une structure de ce type, même si malheureusement les subsides n’existent plus actuellement…
La mise en réseau concertée des forces vives et socio-économiques permettra d’élaborer un véritable schéma de développement économique et un véritable partenariat Commune-entreprises-associations. L’objectif final étant de faire émerger de nouveaux projets créateurs d’activités économiques et d’emplois durables, sans « détruire la maison dans laquelle on vit » et sans « prendre à Paul pour donner à Jacques » !
Pour ce faire, il ne faut pas oublier que l’activité économique et l’emploi sont non seulement générés par les entreprises, les indépendants et artisans, mais aussi par le secteur des services non-marchands.
Ces services répondent à des besoins et créent de l’emploi non délocalisable de différentes qualifications.
Au-delà de ce travail stratégique, la Commune peut agir directement pour aider les entreprises locales :
Dans les services non-marchands, la Commune doit soutenir tous les services aux personnes, depuis la petite enfance jusqu’aux aînés : les crèches et garderies, toutes les écoles de l’entité, le home Philippin, les services à domicile, les loisirs actifs, etc.
Ne nous trompons surtout pas de stratégie en matière de développement socio-économique !
Créer des emplois pour que toute la population active trouve du travail sur place est pure illusion.
Mais il nous faut capter davantage l’intérêt des jeunes ménages pour s’installer dans notre commune.
Quels sont leurs critères d’installation ? Du travail à une distance raisonnable, du logement, de la mobilité et des services de qualité dans un environnement agréable !
Tout offrir à tout le monde est impossible pour Erezée.
Travaillons donc le logement et les services, préservons l’environnement et la qualité de vie et nous enclencherons ainsi la spirale du développement socio-économique !
On le voit, nous sommes bien loin d’un zoning à Briscol, sorti du chapeau d’un illusionniste !!!